C’est depuis l’année 2017 que l’association pour le droit à l’initiative économique (ADIE), a commencé à tester le nouveau dispositif qu’est contrat impact social. Les jeunes qui vivent du chômage pourront ainsi bénéficier de fonds pour pouvoir se lancer dans un business qui a un rapport avec leurs passions et leurs compétences.
Une jeune du nom de Paula donne l’exemple lors d’une réunion
Le projet de la jeune Paula consiste en la production de miel. La jeune dame a tenu à expliquer son activité, avant de faire goûter aux participants ses produits. Paula est apicultrice, et produit des bonbons, du pain d’épice parmi d’autres réalisations. Bien qu’elle continue de vivre du chômage, elle commence à se faire petit à petit un chiffre d’affaires.
Elle n’est pas la seule à bénéficier de cet avantage, car Fabienne elle aussi a une activité dont elle fait la promotion. Son business à elle concerne la transformation des plantes. Elle a su mettre de l’argent de côté, ce qui lui a permis d’acheter un barnum qui va lui permettre d’assurer la vente sur les marchés.
A voir aussi : Comment choisir son traducteur professionnel ?
Les deux dames témoignent du soutien reçu de la part de l’ADIE
Fabienne et Paula ont tenu à magnifier le soutien qu’elles ont reçu de la part de l’Association pour le droit à l’initiative économique (ADIE), et qui leur a permis de générer leurs premiers revenus. En effet, l’ADIE, pour aider au développement d’une activité, accorde des prêts qui peuvent aller jusqu’à 10 000 euros.
Il s’agit de prêts qui sont octroyés à des personnes qui ne peuvent pas avoir accès au crédit bancaire. Le même principe est appliqué par d’autres types d’associations, dont celui que vous pourrez trouver à cette adresse www.imed-vie.com. Ces fonds sont d’une grande utilité pour les personnes qui désirent mettre en place leur propre activité, ou qui veulent juste se procurer du matériel pour développer leur activité.
A voir aussi : Faire appel à une société spécialisée dans le transport
Des entreprises qui peuvent être créées en seulement deux ans
Avec l’appui de l’ADIE, les entreprises qui viennent de naître bénéficient d’un accompagnement humain et technique qui fait qu’elles pourront être sur pied au bout de deux ans. Yves Jarland, le directeur précise que 70% des entreprises qui sont aidées commencent à générer des revenus au bout de seulement deux années.
Il joute que 84% des personnes qui sont aidées réussissent à avoir une insertion durable. Les emprunteurs peuvent de nouveau emprunter s’ils rencontrent des difficultés dans la réalisation de leurs projets. Ils pourront ainsi être accompagnés et bénéficieront de conseils de la part des professionnels de l’ADIE.